Simon Picazos présente un travail qui mérite d’être vu. On pourrait dire que son oeuvre chercheà pénétrer les sublime d’un corps, d’une peau, d’un mouvement, objet – corps apparaissant comme sublimé par le filtre qui met en lumière. Le résultat, impréssionniste et de nuances, semble dissimuler la profondeur. Il ne serait pas impossible de penser que malgré l’amour esthétique porté au sujet part l’auteur, la photoraphie s’intéresse d’abord à une texture qu’a son objet.